Châteaux de sable | 2002-2017

Photographies analogiques noir et blanc 2002 et numérique 2017. Épreuves numériques pigmentaires

Les tas de fumier fumant dans les campagnes d’Île de France, de Bretagne ou de Bourgogne ont été, pour la plupart photographiés en hiver, reliefs incongrus dans le paysage de campagne, monuments éphémères. Objets de transit (à tous les sens du terme !), qui  assurent le lien entre la vie animale et la vie végétale.

Les châteaux de sable, comme les tas de fumier sont une exception à la frontalité du travail de Philippe Gronon. Ces images évoquent plutôt le registre de la sculpture.

Ces deux séries sont comme des échappées régénératrices, vers les traditions de la photographie ; comme une récréation par rapport au protocole drastique qui s’appliquent aux autres travaux. Comme une reprise de souffle dans l’extrême rigueur des principes qui sous-tendent le reste de l’œuvre.

Une espèce de contrepoint, comme pour vérifier qu’on a encore le métier traditionnel bien en main.

Château de sable n°1 – 2002
Dimension encadré 80 x 120 cm

Château de sable n°2 – 2002
Dimension encadré 80 x 120 cm

Château de sable n°3 – 2002
Dimension encadré 80 x 120 cm

Château de sable n°4 – 2002
Dimension encadré 80 x 120 cm

Château de sable n°5 – 2002
Dimension encadré 80 x 120 cm

Château de sable n°6 – 2002
Dimension encadré 80 x 120 cm

Château de sable n°7 – 2002
Dimension encadré 80 x 120 cm

Château de sable n°8. Puerto Vallarta, Casa Aguacate, Mexico 2017
Dim. Encadré 72 x 102 cm

Château de sable n°9. Puerto Vallarta, Casa Aguacate, Mexico 2017
Dim. Encadré 72 x 102 cm

Châteaux de sable | 2002-2017

Photographies analogiques noir et blanc 2002 et numérique 2017
Épreuves numériques pigmentaires